J’ai entrepris de me (re)lancer dans le solaire et l’set up de modules photovoltaïques. Effectivement, à mes débuts en 2012, j’avais passé les {qualifications} mais le marché n’était pas au mieux de sa forme. J’avais mis de côté ce secteur, qui m’intéresse énormément au niveau method.

J’ai donc repassé ma qualification QualiPV et après l’avoir obtenue, j’ai demandé naturellement à mon assurance de me suivre pour ma décennale.

C’est là que l’histoire et que les « ennuis » commencent. Et dans cette histoire, il est query de sinistralité, de liste verte C2P et de matériel certifié.

Les assurances et le photovoltaïque, une histoire de sinistralité:

Le photovoltaïque, c’est un peu la bête noire des assureurs, et pour trigger!

Pendant le premier « increase » du photovoltaïque, il y a eu beaucoup d’installations mal exécutées par des installateurs peu scrupuleux, attirés plus par l’appât du acquire que par la satisfaction des shoppers et du travail bien fait.

Le résultat?

Une augmentation de la sinistralité dans le secteur, à trigger des mauvaises pratiques mais aussi du mauvais matériel installé.

La sinistralité élevée est un problème avéré dans le domaine du photovoltaïque: en trigger, de mauvaise set up et du mauvais matériel

En 2019, il y a eu un « cease » des assureurs pour les nouveaux installateurs qui voulaient se lancer dans l’set up de systèmes photovoltaïques.

A noter que ce sont des informations que je ne les tire pas de mon chapeau. Elles m’ont été relatées par mon assureur et bon nombre de contacts que j’ai eu dans le milieu du photovoltaïque et des assurances.

Ce qui amène à la suite de cette histoire.

Les assureurs et le matériel certifié de la liste verte C2P:

La liste verte C2P, c’est quoi?

Pour se couvrir et diminuer le risque, les assureurs et notamment la Fédération Française de l’Assurance à demandé que le ménage soit fait dans les pratiques et surtout le matériel photovoltaïque installé.

Pour les nouveaux installateurs, il faut désormais montrer patte blanche au niveau des {qualifications} mais surtout s’engager à utiliser du matériel certifié.

Ce matériel est regroupé dans une liste dite liste verte C2P, pour Commission Prévention Produits.

Cette liste verte de la C2P regroupe plusieurs dispositifs qui ont été certifiés through des avis methods, ceux du CSTB notamment (a retrouver ici plus précisément).

Des procédés photovoltaïques font partie de cette liste, certains fabricants ayant fait évaluer et certifier leur matériel.

Quel est le « problème » avec cette liste verte C2P?

Sur le papier c’est rassurant. Du matériel certifié, robuste et validé par les assurances.

De quoi rassurer shoppers, installateurs et assureurs.

Mais en pratique, il y a un problème :

Le matériel certifié en photovoltaïque est très limité en nombre de références. 19 produits seulement en photovoltaïques et deux kits en surimposition (le matériel que j’installe).
Parfois, le matériel est obsolète avec des modules limités en terme de puissance.
Le prix est bien supérieur à ce qui se fait pour du matériel non certifié, utilisé par les installateurs anciennement installés avec des contrats d’assurance décennale qui n’imposent pas ce sort de matériel.

Avec le matériel de cette liste verte de la C2P, le constat est sans appel: unimaginable d’être compétitif et d’espérer avoir des tarifs proches de ce qui se fait normalement.

Automobile même si les shoppers peuvent vouloir payer un peu plus cher pour du matériel certifié, la différence est ici bien trop importante (au moins 20% à 30% plus cher minimal en tirant les marges).

Voici le prix pour un package 3kWC certifié de la liste verte C2P

Remark j’ai obtenu ma décennale pour le photovoltaïque?

Maintenant que vous avez compris le problème, voici mon cas de determine, remark ce problème m’est apparu, et remark je suis sorti de l’deadlock.

Je partage cette expérience automotive je pense que je ne suis pas le seul dans ce cas et que certains futurs installateurs rencontreront le même problème.

Une demande préalable auprès de mes assurances avant de m’engager:

C’est la première alerte qui m’a été donnée.

Quand j’ai voulu me relancer dans le secteur, j’ai consulté tout d’abord mon assureur (la MAAF Professional). C’est ce dernier qui m’a informé de l’état du marché (au niveau des assurances), et je savais dors et déjà que je serais limité en terme de matériel.

Ce problème ne m’était pas donc inconnu mais j’ai mis du temps avant de l’identifier automotive je n’avais pas idée que la liste verte C2P était si restrictive et surtout que les prix étaient élevés.

Un avertissement pendant ma formation sur la décennale:

La deuxième alerte est venue pendant ma formation QualiPV.

Le formateur connaissait bien le problème et a informé les contributors de la formation (dont je faisais partie) que les assurances ne voulaient plus ou difficilement suivre les nouveaux installateurs.

Un assureur qui m’a fait confiance et qui a accepté de discuter:

Sorti de ma formation, j’ai rempli les différents paperwork demandés par mon assureur et j’ai obtenu une modification de mon contrat d’assurance décennale avec, dans les situations, l’utilisation du matériel de la liste verte C2P.

Après plusieurs discussions auprès de mon assureur, j’ai réussi à obtenir des dérogations sur certains matériels certifiés or liste verte (ces derniers bénéficient d’études methods solides).

Conclusion:

Quand je me suis mis en tête de reprendre l’activité en photovoltaïque, j’étais loin de penser que la complexité administrative serait si importante.

Entre la formation, la partie RGE et surtout les assurances décennales qui imposent l’utilisation d’un matériel spécifique, les barrières à l’entrée sont nombreuses.

C’est regular qu’il existe des gardes-fou mais dans le cas présent, il y a un problème de cohérence en ce qui se fait pour les installateurs de panneaux photovoltaïques qui sont déjà sur le marché et les nouveaux qui souhaitent développer leur activité.

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